15 pays avec la plus mauvaise durabilité environnementale

La durabilité environnementale est la façon dont les organisations et les gouvernements se tournent vers un idéal qui pourrait créer un développement durable et atteindre cet idéal. Ces idéaux pourraient viser un écosystème et des environnements sains. L'autre est la croissance économique durable qui dépend de ressources renouvelables. Cependant, la durabilité de l'environnement dépend aujourd'hui de politiques et d'une production dégradantes pour l'environnement.

L’impact humain est le facteur décisif qui limite la durabilité de l’environnement sous tous ses aspects. Des mesures positives devraient être prises sous forme de politiques, de lois, de planification urbaine et de transport. Les conditions de vie, les changements de mode de vie et le consumérisme éthique qui conduisent à la conservation de nos ressources naturelles sont des facteurs essentiels pour le succès futur.

Viabilité environnementale défaillante

De nombreux facteurs contribuent à l'échec de la durabilité environnementale. Les gouvernements cherchent à obtenir un bilan positif en matière de durabilité environnementale, mais la population et l'économie sont prioritaires. Ces facteurs sont: la croissance démographique, la sécurité alimentaire, la surconsommation, la croissance économique, la dégradation de l'environnement et le changement climatique. Se concentrent en Afrique sub-saharienne, sont des pays dont les politiques de durabilité environnementale n'ont réalisé aucun progrès.

Les pires pays évalués

Selon les données de la Banque mondiale sur l'évaluation des politiques et des institutions nationales (CPIA), ces pays enregistrent les pires records de durabilité environnementale. Les scores vont de 1 (pire) à 6 (meilleur).

  1. Le pays le plus défavorisé est la République centrafricaine (2, 0). Le conflit de 2012 a dissuadé le succès des projets de développement économique et social planifiés dans le pays qui auraient amené des services et infrastructures de base dans les zones rurales.
  2. Le numéro deux est la Papouasie-Nouvelle-Guinée (2, 0). Les ruraux restent dépendants de l'agriculture de subsistance. L’exploitation forestière, la pêche destructive, les activités minières et la dégradation des terres ajoutent également au problème.
  3. Le numéro trois est l'Erythrée (2.0). Les causes sont l'érosion, la déforestation, la désertification, la perte de terres par des mines antipersonnel et le surpâturage.
  4. Le numéro quatre est le Soudan du Sud (2). Les causes sont l'exploitation forestière, la pollution de l'eau, le forage pétrolier, les guerres et la surpêche.
  5. Le numéro cinq est le Soudan (2.0). Les causes sont les conflits tribaux, la déforestation, l'exploitation forestière, la désertification et la pauvreté.
  6. Le numéro six est le Timor oriental (2.0). Les causes sont la déforestation, la désertification, le dragage, les effluents et la construction de barrages.
  7. Le numéro sept est Djibouti (2, 5). Les causes sont la désertification, la déforestation, la pollution de l'eau et l'exploitation forestière.
  8. Le numéro huit est le Tchad (2, 5). Les causes en sont les effluents, l’eau potable, les mauvaises techniques agricoles, la pollution de l’eau et la désertification.
  9. Le numéro neuf est la République démocratique du Congo (2, 5). Les causes en sont la pollution de l'eau, la déforestation, les activités des réfugiés contribuant à la déforestation, l'érosion des sols, le braconnage et l'exploitation minière.
  10. Le numéro dix est la Guinée-Bissau (2, 5). Les causes sont l'érosion des sols, le surpâturage, la surpêche et la déforestation.
  11. Le numéro onze est le Myanmar (2, 5). Les causes sont la pollution industrielle, l'assainissement insuffisant, le traitement de l'eau et la déforestation.
  12. Le numéro douze est le Sri Lanka (2, 5). Les causes sont le braconnage, l'urbanisation, la déforestation, la pollution et les effluents.
  13. Le numéro treize est les Îles Salomon (2, 5). Les causes en sont le blanchissement des coraux, la déforestation, l’érosion des sols et les défoliants.
  14. Le nombre quatorze est le Kirghizistan (2, 5). Les causes sont l’eau potable, la salinité du sol, les maladies d’origine hydrique et la pollution de l’eau.
  15. Le numéro quinze est Haïti (2.5). Les causes sont l'érosion des sols, l'eau potable, la déforestation et l'exploitation forestière.

Relations environnementales

Le théoricien et écrivain politique américain Murray Bookchin a écrit que les gouvernements ont la capacité et ont déjà exploité la nature et les ressources naturelles comme une simple marchandise. Il a ajouté que tous les problèmes écologiques actuels avaient leur origine dans des arrangements sociaux dysfonctionnels. Bookchin a ajouté que la solution pouvait consister à comprendre les processus sociaux sous-jacents et à utiliser les sciences sociales pour créer une solution à ces problèmes.

Le scientifique suédois Karl-Henrik Robert a développé le Natural Step Framework en 1987 en promouvant ses principes de durabilité des activités humaines sur Terre. Selon Robert, la dépendance vis-à-vis des métaux, des minéraux et des combustibles fossiles devrait être réduite, de même que pour les substances non naturelles et les produits chimiques synthétiques. Un empiètement réduit sur la nature et un moyen juste et efficace de répondre aux besoins humains doivent trouver un juste milieu.

15 pays avec la plus mauvaise durabilité environnementale

RangPaysScore de durabilité environnementale de la CPIA, 1 = le pire, 6 = le meilleur
1République centrafricaine2.0
2Papouasie Nouvelle Guinée2.0
3Erythrée2.0
4Soudan du sud2.0
5Soudan2.0
6Timor oriental2.0
7Djibouti2, 5
8Tchad2, 5
9RD Congo2, 5
dixGuinée Bissau2, 5
11Myanmar2, 5
12Sri Lanka2, 5
13îles Salomon2, 5
14Kirghizistan2, 5
15Haïti2, 5